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17 novembre 2012 6 17 /11 /novembre /2012 11:23

ANTICOR à l'honneur

Lors de l'émission "Complément d'enquête" ce jeudi dernier, l'association Anticor était à l'honneur.

Anticor est une association dont le but est la lutte contre les diverses formes de corruption et l'assainissement de la vie politique. Au début initiative nationale, Anticor se développe maintenant sur l'ensemble du territoire jusque dans les petits villages.

Quel rapport avec Peynier et la haute vallée de l'Arc me direz vous ? Tout simplement le fait que le responsable départemental pour les Bouches du Rhone d'Anticor n'est autre qu'un Peyniéren, Jean-Claude Roger. Récemment constitué (il y a un an), le groupe local d'anticor GL13 compte un noyau dur d'adhérents Peyniérens. Est-ce un hasard ?

Ensuite cette émission était l'occasion de mettre en lumière certaines pratiques courantes dans le sud, notamment autour des problèmes d'urbanisme, un véritable jackpot plus intéressant que la loterie nationale, car dans ce cas on gagne à tous les coups. Mais évidemment sur ce dernier point il n'y a aucun rapport avec notre beau village.

Je vous invite, si vous avez loupé l'émission, à regarder ces quelques minutes intéressantes :

L'intervention du juge Halphen, président d'honneur et co-fondateur d'Anticor est également très intéressante, notamment son point de vue sur la démocratie :

Pour ceux qui seraient intéressés, les liens ci-dessous pointent vers le reste de l'émission:

sur le site national d'Anticor

l'émission entière sur le site de France 2

Constitué il y a un an, le groupe local Anticor GL13 monte doucement en puissance et regarde de très près un certain nombre d'affaires sur l'ensemble du département. Nous en reparlerons dans le futur. Notons que l'une de ses premières actions fortes aura été de déposer une remarque accompagnée d'un dossier de 70 pages dans le cadre de l'enquête publique sur le PLU de Peynier, remarque qui n'a pas reçu de réponse satisfaisante à ce jour ni de la part du commissaire enquêteur ni du maire.

En attendant je vous invite à rejoindre le groupe local d'Anticor et à adhérer à l'association, pour que la pression citoyenne devienne telle que nos hommes politiques n'aient plus le choix que d'être honnêtes.

Pour tout renseignement contactez Jean-Claude Roger : anticor13@gmail.com

et le site d'anticor GL13.

La conclusion de tout ceci est soufflée par Jean-Christophe Picard, le militant d'anticor GL06 intervenant dans le reportage plus haut : "tant qu'il y aura des élections, on pourra changer les personnes et donc on pourra changer les pratiques."

A samedi prochain

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10 novembre 2012 6 10 /11 /novembre /2012 08:57

Une pétition à l'école

Les jeunes Peyniérens ont décidé de se faire entendre... mes enfants m'ont rapporté qu'une pétition circulait dans l'enceinte de l'école peu avant les vacances, portée par le jeune E. Une initiative d'une grande maturité semble-t-il.

La pétition a pour but de réclamer la création d'un skate park . Un sujet qui revient régulièrement sur le tapis mais qui ne semble pas trouver écho à l'hôtel de ville, ce qui aura valu l'attribution de certains sobriquets peu flatteurs à des élus par les jeunes Peyniérens.

Pourtant la question mérite bien d'être posée : un skate park, où, pour qui, pour quoi faire et à quel coût ? Les skate parks permettent aux jeunes de pratiquer des sports dits urbains, de plus en plus prisés. Il est possible d'utiliser les skate parks en skate board, mais aussi en roller, BMX ou même en trotinette. Le couplage (comprendre la proximité) d'un skate park avec le champ de bosses géré par le Peynier BMX serait probablement une bonne chose.

Un skate park à Genève (photo Franck Schneider, licence créative commons)

Quel coût pour un tel équipement ? Entre zéro (Peynier) et 1M€ (Marseille) la marge de manoeuvre est importante. Rousset dispose de son skate park en semi-préfabriqué, preuve que c'est possible même dans les petites cités. Les éléments préfabriqués sont relativement abordables et permettent la création de skate parks à coût raisonnable, avec une mini rampe à partir de 21 000 €, le double pour un half-pipe et 4000 € pour un quarter pipe, moins de la moitié d'une statue inutile. L'étude et la construction d'un "Bowl" en béton, comme à Marseille est plus onéreuse mais elle permet une création originale. L'équipement pourrait être financé conjointement par la commune et les autres collectivités locales (CPA, CG13).

Un skate park est par ailleurs, lorsqu'il dispose de particularités, générateur d'attractivité et de tourisme. C'est le cas du skate park de Marseille qui attire des gens du monde entier par sa qualité et sa situation, face à la mer. Le skate park de Peynier pourrait jouer la carte du cadre, tout comme le terrain de BMX : dans la forêt, face à la Sainte Victoire... les lieux potentiels remarquables pour implanter un tel équipement ne manquent pas.

Au delà de toutes ces considérations, c'est une occasion unique pour monter un projet autour des jeunes, et les impliquer dans la vie de la cité. Pourquoi pas le mercredi après midi ? Encadrés par des adultes et des élus, le projet pourrait être porté par un groupe de travail de jeunes de tous âges organisés en association, projet à la fois éducatif et citoyen, le skate park serait "leur" skate park.

Pour en revenir à la pétition, elle a été remise en mairie. Nous verrons bien quel écho il en sera fait, mais l'idée d'impliquer les jeunes dans un projet à eux, et plus largement d'impliquer ou même plus simplement écouter les citoyens n'est pas dans les pratiques habituelles de la municipalité...

A samedi prochain

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20 octobre 2012 6 20 /10 /octobre /2012 09:24

Deux ans de blog

Cette année le blog Monpeynier fête ses deux ans d'activité, un moment que j'ai jugé propice pour regarder un peu dans le rétroviseur sur ces deux années passées. J'avais prévu cet article plus tôt en septembre, mais l'actualité locale passait avant ce travail de bilan.

A l'origine, le blog Monpeynier fut crée à l'occasion de l'érection malheureuse de la statue à la mémoire de Vincent Delpuech, sénateur-maire de Peynier, radical, dont le passé pendant la guerre est pour le moins controversé. C'est à cette occasion qu'il est apparu nécessaire qu'un autre point de vue que celui colporté par les publications officielles soit présent dans le village. La réécriture de cette période trouble de l'histoire aura montré à quel point ces publications municipales sont partiales et ni plus ni moins que des outils de propagande. Ce n'est pas propre à Peynier, nombre de publications de collectivités locales ont un fonctionnement similaire, et il faudra bien qu'un jour le législateur se penche sur cette question.

Cette situation découle également du mode de scrutin à Peynier, commune de moins de 3500 habitants où le scrutin est majoritaire par liste complète avec panachage. La conséquence est que contrairement aux villes de plus de 3500 habitants l'opposition n'est pas représentée dans le conseil municipal malgré un score de plus de 40% ce qui est un scandale démocratique. Espérons que le législateur corrige ici aussi cette anomalie car on ne voit pas pourquoi les communes comme Peynier seraient punies par un mode de scrutin achaïque et antidémocratique, qui conduit aux excès que nous connaissons en l'absence totale de contre-pouvoirs. Le Sénat semble sur cette voie puisqu'une proposition de loi enregistrée le 31 juillet 2012 vise à abaisser le seuil du scrutin proportionnel aux communes de plus de 1500 habitants.

Un blog assumé et à visage découvert pour essayer également d'élever un peu le débat local, resté au ras des pâquerettes. On se souvient de la situation lors des denières élections municipales, avec pour seul argument les vieilles histoires peyniérennes brandies continuellement en épouvantail. On se souvient de cet épisode malheureux du tract anonyme (ou plutôt signé d'une association fantôme "peynier au coeur") jaune fluo distribué dans tout le village la veille du scrutin de 2008 apparemment par des personnes très "courageuses" et dont le but unique était de salir l'opposition de l'époque et d'influer le scrutin en faveur de la municipalité actuelle. Ces pratiques politiques "à la papa" sont insupportables, Peynier doit entrer dans le 21e siècle au moins de ce point de vue là. Il serait dommageable pour le village que l'enjeu des prochaines élections municipales de 2014 gravite une fois de plus autour de vielles histoires de corbeau, sans traiter des vrais problèmes de fond rencontrés par nos concitoyens et soit l'occasion de la distribution de nouveaux tracts anonymes puants.

Bref, lever la chape de plomb qui pèse sur le village, donner un point de vue alternatif, et inviter les Peyniérens, quelle que soit leur opinion et leur tendance politique à s'exprimer et faire vivre le débat démocratique dans le village, cruellement absent de nos institutions locales, via un espace de liberté. Tout le monde peut donc s'exprimer librement ici, et cet espace de liberté semble quelque peu en irriter certains à l'hôtel de ville, par ailleurs grands adeptes de lettres recommandées avec accusé de réception en tout genre.

Aujourd'hui on peut dire que le pari est réussi si l'on en croit les statistiques de fréquentation de ce blog et le nombre de commentaires postés à chaque article. Ainsi près de 70 000 pages ont été lues en 2 ans et près de 25 000 adresses internet différentes (IP uniques) se sont connectées. Les bloggueurs n'aiment en général pas communiquer ces chiffres, mais pour ma part je joue la transparence jusqu'au bout en publiant même les courbes de fréquentation mensuelles depuis deux ans :

On remarquera un pic de fréquentation lors des cantonales de mars 2011, deux creux correspondant aux périodes estivales mais aussi une tendance globale à une progression relativement continue de fréquentation. En moyenne Monpeynier est lu une fois par chaque habitant de Peynier tous les mois, et même si ce calcul est largement approximatif puisque le blog est lu par des extérieurs à Peynier, cela traduit malgré tout une réelle attente compte tenu du rapport entre le nombre d'habitants à Peynier et ces statistiques. Monpeynier est également solidement accroché dans le classement E-Buzzing dans les 300 blogs politiques les plus influents de France ce qui est assez inattendu.

Dans le détail, les pics de fréquentation ont eu lieu le 16 juillet 2012 à l'occasion de l'article le maire encore désavoué par le tribunal administratif avec près de 509 pages lues en un seul jour et le 25 février 2012 avec 120 visiteurs uniques ce jour là à l'occasion de la publication de l'article une manif à Peynier !

Ce blog se veut donc être le poil à gratter de Peynier, satirique, provoquant, insolent, et tellement gênant que des menaces ont été proférées à mon encontre en plein conseil municipal (souvenez vous de l'article consternant ! ). Concernant l'association Jean Zay en Provence ces menaces avaient été mises à exécution, avec une râclée à la clef puisque le procès fut gagné par forfait de la municipalité ( Procès Jean Zay : victoire de l'association). J'ai écho régulièrement ici et là de velléités de procès contre moi, mais ces gesticulations, réelles ou issues de la rumeur, ne m'impressionnent pas, je suis préparé à ce combat et évidemment toutes mes publications s'appuient sur des documents officiels (généralement également publiés), le but étant bien d'informer nos concitoyens.

Cet article ne peut se conclure que par des remerciements, à tous ceux qui m'ont soutenu, à tous ceux qui m'informent, et tout simplement à tous ceux qui me lisent et font vivre la démocratie à Peynier.

A samedi prochain

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24 août 2012 5 24 /08 /août /2012 21:00

L'incendiaire présumé des conteneurs peyniérens retrouvé

Lu dans La provence du 12 août :

L'incendiaire des conteneurs tretsois retrouvé

Il aurait commencé la nuit de la Saint-Sylvestre. Drôle de feu de joie, et surtout, déjà, de gros dégâts. Les incendies, nocturnes, de conteneurs à poubelles et de colonnes de tri sélectif, ont repris à la seconde quinzaine du mois d'avril dernier. Un vrai mystère, et surtout, un préjudice qui ne cessait de grimper, comme les étincelles s'élevant dans la nuit : on ne sait où.

D'autant que les fais se produisaient à Trets, mais bientôt aussi à Peynier. Toujours similaires: la nuit, on venait incendier le matériel collectif, déclenchant l'arrivée des sapeurs-pompiers. Rapidement, les gendarmes de la brigade territoriale de Trets allaient se mettre à la recherche de ce mystérieux incendiaire des conteneurs à poubelles.

"Une enquête de longue haleine", reconnaît-on à la compagnie d'Aix, tant les militaires tretsois ont effectué un gros travail de surveillance et de recoupements. Car le préjudice, lui, ne cessait de grimper... Jusqu'à atteindre la somme, hors taxé, de 20 000 euros ! Au total, l'incendiaire aura détruit pas moins de 38 conteneurs et 9 colonnes de tri. Ces jours derniers, les enquêteurs de la brigade de Trets ont identifié et interpellé un suspect, un jeune Tretsois. Il a été placé en garde à vue pour s'expliquer sur les faits commis à Peynier et à Trets. À l'issue de celle-ci, il a été déféré devant un magistrat du Parquet d'Aix. On lui a signifié une convocation par officier de police judiciaire: un rendez-vous à l'audience du tribunal correctionnel pour aller s'expliquer sur les faits de destruction de biens publics.

LA PROVENCE 12 Aout 2012 S.P.

Espérons que les enquêteurs seront aussi efficaces pour retrouver les courageux vandales nocturnes qui déteriorent sélectivement les boites aux lettres des particuliers ayant comme point commun d'être des opposants à la politique d'urbanisation de la municipalité. On espère le même sort pour les auteurs de voies de faits à coup de buldozer sur des propriétés appartenant à des personnes en situation de faiblesse comme cela s'est produit au printemps dernier dans notre commune.

A samedi prochain

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29 juillet 2012 7 29 /07 /juillet /2012 00:04

Peynier dans Alternatives Economiques

Le blog passe en mode "estival" avec des articles plus légers, pour reprendre de plus belle en septembre, avec au programme la suite du PLU (le projet de village des marques serait abandonné), la suite de la saga des Jardins de Philia dont les travaux ont commencé, la campagne pour les municipales qui s'annonce chaude, les Faïsses qui puent, etc...

Cette semaine je vous propose un article paru dans le mensuel Alternatives Economiques n°314 de juin 2012. Une analyse criante de vérité à tous niveaux, je vous invite à vous délecter de ces quelques pages, en particulier à partir du paragraphe qui a pour titre "le jackpot de l'urbanisation" en page 2.

bonne lecture (cliquer pour agrandir)

A samedi prochain

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22 juin 2012 5 22 /06 /juin /2012 22:58

Le village des marques : source de délinquance

A quelques heures de la clôture de la campagne officielle du premier tour pour l'élection législative où notre maire se présentait comme suppléant, nous avons tous eu la surprise de voir surgir dans nos boites aux lettres, financé par nos impôts, Peynier infos n°48 véritable plaidoyer en faveur du projet de village des marques à Peynier.

En balance, la création de 600 (!) emplois. Derrière ce mirroir aux alouettes, quelles conséquences réelles pour ce projet ? On voit ici l'amateurisme complet, beaucoup de conséquences étant balayées sous le tapis et soigneusement dissimulées à tous les Peyniérens.

600 emplois nous dit-on. Ha... quelle étude au delà de ces affirmations péremptoires ? qui va s'installer ? Adidas nous dit-on, ça ne fait pas 600 emplois, chiffre probablement très sur-estimé. Mais admettons.

Quelles conséquences pour Peynier et ses habitants ? Nul mot. Pourtant il est bien connu que la création d'une zone commerciale s'accompagne nécessairement de nuisances qui pour certaines sont très préoccupantes. La première c'est le traffic routier qui va exploser. Donc tous ceux qui partiront le matin travailler vers Aix devront subir les embouteilages crées par cette zone commerciale éloignée de tout accès autoroutier.

Mais le plus grave n'est pas là. La sécurité est un élément totalement éludé par la municipalité car on sait très bien qu'une zone commerciale, particlièrement lorsqu'il s'agit de produits de marques génère une délinquance importante. Voitures bélier le soir, attaques de transports de fonds, zone de forte concentration de population propice à la génération de traffics en tout genre, etc. Cette délinquance, généralement très dure et en bande organisée gravitant autour des zones commerciales est un élément totalement absent de la présentation idyllique qui nous est faite de ce projet. Les Peyniérens sont-ils prêts à supporter ceci ?

Par ailleurs nous avons à faire là à une vision totalement passéiste de la problématique portée par une municipalité totalement à bout de souffle et d'idées pour enfumer les Peyniérens. Le concept de village des marques ne tiendra pas dans les dix prochaines années face au développement exponentiel des ventes sur internet, ventes privées et autres systèmes promotionnels mis en place par les grandes marques pour écouler leurs stocks d'invendus. Aujourd'hui, et pire encore demain, qui ferait 200 km pour faire du shopping quand les produits viennent à nous le lendemain en quelques clics ? Nos édiles ont décidément un temps de retard. Ceci prouve l'absence de réflexion et de perspective de cette municipalité qui s'enferme dans un projet dont elle s'est elle-même rendue prisonnière, par l'achat hasardeux de terrains au prix fort. Mais ce sont les Peyniérens qui devront subir tous ces désagréments pendant des dizaines d'années si ce projet devait voir le jour.

Que dire par ailleurs des produits vendus sur place ? La plupart sont fabriqués en Chine, Asie ou dans d'autres pays où les gens sont exploités et les normes sociales et environnementales sont bien en dessous des notres ? Est-ce la seule perspective que nous avons à proposer à nos concitoyens , favoriser un système dicté par un libre échangisme sans limite et sans régulation, localement créateur de quelques emplois, mais à plus grande échelle destructeur de milliers d'emplois en France ? Prenons pour exemple la marque mise en avant par la municipalité. Elle est un fer de lance de la recherche des pays les "moins chers" selon Marianne 2.CQFD.

Pourtant d'autres schémas existent : offrir de vrais emplois productifs. En ce sens les économistes s'accordent à dire que la seule chance des vieux pays industrialisés passe par l'innovation et pour les territoires favoriser l'implantation d'entreprises innovantes. En ce sens la région PACA et la métropole d'Aix-Marseille sont bien placées par la présence de nombreux pôles de compétitivité sur des thématiques particulièrement porteuses et à très haute valeur ajoutée : Pôle PEGASE sur l'aéronautique, OPTITEC sur l'optique, CAPENERGIES sur les énergies du futur, le pôle MER, et... PEIFL sur l'innovation de la filière fruits et légumes !!! C'est quand même un comble que le vice président à la CPA en charge de l'agriculture ne se saisisse pas de ce dernier sujet...

Et dans le cas des pôles de compétitivité, on ne parle pas de centaines d'emplois, mais de milliers voire dizaines de milliers d'emplois, sans consommation excessive d'espaces agricoles comparé à une zone commerciale, et qui ne génèrent pas de délinquance. A chacun son braquet.

A samedi prochain

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23 décembre 2011 5 23 /12 /décembre /2011 21:48

Pluralité à Peynier

Ca y est, le Journal de Peynier n°15 est sorti, et ce coup-ci, il n'est pas question de règlements de compte par voie de presse, mais simplement des associations. Saluons cette évolution de la ligne éditoriale.

On pourra remarquer néanmoins de nombreuses omissions concernant des associations pourtant très actives dans ce numéro "spécial associations". Tout d'abord toutes les associations recevant des subventions n'y figurent pas... ça aurait pourtant été la moindre des choses. Citons par exemple Peynier Fêtes, les diverses amicales, les Anciens Combattants, etc. Des associations très actives comme les DOREMI ou l'association des parents délèves (UPEP) ne figurent pas non plus dans ce numéro spécial.

Et au delà des associations dont le siège est à Peynier, il est d'autres associations à portée nationale qui ont une antenne à Peynier et qui mériteraient également une citation dans le journal municipal, comme par exemple Anticor ou le secours populaire...

Moins étonnant, un certain nombre d'associations qui ne touchent aucune subvention municipale mais pourtant très actives n'y figurent pas, parmi lesquelles on peut citer de manière non exhaustive :

- Lei Michelins

- Jean Zay en Provence, pédagogie mémoire et histoire

- Arc environnement

- Les CIQ divers (La Treille, Beaulieu, Les collines)

Il est fort regrettable que les considérations politiques aient primé et que ces associations soient systèmatiquement marginalisées. C'est une conception bien Peyniérenne de la pluralité et de la liberté d'expression.

Joyeux Noël à tous et samedi prochain